«  On estime qu’il faut atteindre 800 tonnes de produits transformés par an pour y parvenir. On en est à 600 tonnes, et le nouveau bâtiment nous donne une capacité de production de 1 200 tonnes  », explique le directeur, Philippe Lachery.

 

Concrètement, la légumerie reçoit des commandes. Elle se fournit auprès d’exploitations agricoles situées dans un rayon de 50 kilomètres. Les légumes passent dans le « secteur sale », où ils sont transformés (épluchés et coupés en rondelles, en quartiers ou en frites), lavés, désinfectés et rincés. Ils arrivent ensuite dans la « zone propre », où ils sont conditionnés sous vide, sous sache ou en barquettes.

 

Ils sont une vingtaine de salariés aujourd’hui à se répartir entre les espaces verts et la légumerie. L’idée est d’atteindre cet effectif pour la légumerie seule, où ils sont une douzaine à œuvrer actuellement, tout en ayant huit personnes aux espaces verts. «  Il y a déjà eu trois embauches, et on en espère trois autres assez rapidement  », précise Philippe Lachery.